Monday, September 25, 2006

- comme j'en ai envie !!!

La philosophie donne des maux de tete,
La solitude rend fou et la complicité ne reussit jamais,
Les larmes sont les armes les plus puissantes, mais il faut d'abord les posseder!
Le corps nu est une beauté, mais on ne pense qu'à le violer,
Un Homme mort est une ame qui ne peut plus briser le coeur d'un existant,
Une religion est une loi qui permet aux peuples de survivre, juste pour ne pas croire aux Hatés,
Un bébé n'est rien qu'un futur assasin,
Le soleil est une douleur qui pèse sur les pensées,
La neige est une froideur qui nous laisse mourir gelés,
Le bonheur est un sentiment confondu qui nait que pour quelques instants,

je reve du sable doux me cachant sous les gazons verts, et des fourmis colorées me carressant le front! ahhh come j'en ai envie...

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Monday, September 18, 2006

pour ne pas rester anonyme!!!

voilà !!! c'est moi !!!

et là, c'est encore moi !!!
ca vous épate hein ?
shrrr ©

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Sunday, September 17, 2006

oiseaux bizaroides à Badaro!!!



ba3ed na2eiss yekhrou 3layna al 3safeer!!!









shrrr ©

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dimanche 13 aout 2006, 2h du mat, la veille du cessez-le feu!!!



pas d'éléctricité, radio à baterie sur laquelle on écoutait les nouvelles, des avions militaires trimballant audessus de nos tetes!!!

shrrr ©

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c'est comme ca qu'on rempli d'essence nos voitures...à la queue leu-leu



et oui, pour shy 3 heures de temps!

( kouna) SAMIDOUUUUN

shrrr ©

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Monday, September 11, 2006

Seule, courbée dans ce cube infernal, la seconde conte pour moi des siècles.
La cigarette en main, crée des nuages à partir desquelles j'arrive à imaginer le ciel...qu'il soit beau, ou mauvais temps!
Un petit miroir, taché de poussière plaqué sur le mur juste en face de moi, m'oblige à observer ma douleure.
Une grosse clé poignardant la seconde face de cet univers infiniement encombrant, est pendue à un clou noiratre... Je me demande parfois si cet objet était la solution à la fuite, ou bien une maigre ruelle qui mène à mon destin!
Un peigne rouge dont les puces ont trouvées leur demeure plastiqué, est toujours plaqué sur la planche au dessus de ma tete.
De ma tete qui ne pense plus, de mon corps qui ne réagit plus, de mes pieds éternellement tendus...
La porte s'ouvre....mais malheureusement pas!
Se sont mes yeux non-voyants qui veulent la vérité menteuse.

ou suis-je?
suis-je condamnée?

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Saturday, September 09, 2006

a voir

a voir ces femmes écrire et crier pour leur droit
a voir des combattants mourir en levant les bras
a voir des yeux seigner regardant vers le bas
a voir des pères perdants leurs enfants sous leurs toits
a voir des veines déchirées pour arriver au MOI
a voir le peuple écrasé pour obéir aux lois
a voir des souls couchés dans le noir
a voir des putains passants sur les trottoires
a voir des malades n'ayant pas d'espoir
a voir le sang qui coule du corp des noirs
a voir des soldats qui ne veulent rien voir
a voir des chefs qui cherchent uniquement leur gloire
et finallement, fermer les yeux, pour toucher aux reves, pour oublier, pour essayer d'entamer une autre vie, pour se déshabiller de ce monde inégal, impertinent, qui brule toutes nos envies, qui cache les dons, qui nouit aux sourires, qui n'accepte pas les fous et qui impose les contraintes sociales!!!
peuple cris, peuple défoule-toi, peuple regroupe-toi...

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Saturday, September 02, 2006

débilo-texto-phobe 5

Gratte gratte


Je suis allongée, regardant le ciel, les yeux fixes, bouche mi-close, mes bras croisés sur ma poitrine, le vent frais vient me chatouiller le cou, mon petit orteil me gratte.
Je ne veux pas me redresser, je ne veux pas hausser et plier ma jambe, mon orteil me gratte.
Mes yeux se baissent pour regarder le niveau inférieur de mon corps, j’aperçois mon orteil.
Il me gratte encore plus.
Je rehausse mes yeux, puis je les ferme.
C’est là où je me lève tout doucement, pour ne pas faire de bruit et changer l’ambiance présente, tout doucement, pour gratter mon petit orteil. Ça fait du bien. Je gratte encore. Je vais mieux et encore mieux.
Je me rallonge au même rythme, délicatement, sereinement, je prends un souffle, recroise mes bras…Rouvre mes yeux.
Par curiosité instinctive et humaine, je veux examiner si l’ambiance a changée autour de moi.
Je laisse rouler mes yeux à droite, puis à gauche. L’ambiance n’a pas changée, c’est moi qui me sens mieux, dans mon corps, dans ma peau. Mon orteil ne me gratte plus.

Mais l’ambiance dans ma tête s’est transformée. Préoccupée pas la crainte que l’ambiance est changée ou non, je ne suis plus tranquille.
Je n’aurai pas due me gratter, je n’aurai pas due fermer les yeux.
C’est moi, c’est à cause de mon orteil que les choses ne sont plus les mêmes…Dans mon esprit.

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débilo-texto-phobe 3

Deux hommes, très potes :

- Salut Cou
- Ahlein Yeu
- Tu fais quoi ce soir Cou ?
- Machy, et toi Yeu ?
- Passe chez moi on jouera aux cartes Cou
- Fekra jaydé Yeu !

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Friday, September 01, 2006

débilo-texto-phobe 2

Chien perdu

Je suis un chien perdu, je n’ai pas d’abri, je n’ai pas de famille. Je fume trop, et je n’ai pas de zizi. Je n’aboie pas, personne ne m’a appris à le faire ! je n ‘ai pas de revolver pour me tuer, et je ne pourrai pas me faire écraser par une voiture…Je n’ai que deux pattes !
J’ai des seins, et des poils que sur la tête. On me prend toujours pour un chien pédé. Mais je ne peux pas me défendre, j’ai donné ma langue au chat.
J’ai des crottes de nez qui ne me laissent pas bien respirer, et des moustiques sur le dos que je ne peut point dégager !!!
J’ai un œil très grand, et l’autre qui louche. Mes orteils sont tellement longs qu’on dirait que je suis grand de taille.
Je n’aime pas manger, je n’aime pas boire, je n’aime pas le bruit, je n’aime pas qu’on me sourie, je n’aime pas rêver, je n’aime pas celui qui m’a créé … Je n’aime rien, je suis un chien perdu.

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débilo-texto-phobe 1

La petite

Il était une fois, une petite fille nommée “petite fille” parce que ces parents la trouvait petite.
Elle avait un grand chien nommé « grand chien », qui la suivait partout.
Un jour, petite fille décida de quitter sa maison, à la recherche de sa petite culotte qui s’est envolée lors d’une grande tempête…
Grand chien suiva petite fille jusqu'à ce qu’elle arrive a un petit village construit par de grandes culottes. Petite fille s’arrête et s’écrit : « petite culotte…Où est-tu ? »
Aucune culotte ne répond à petite fille !
Le grand malheur de petite fille la suivra toute sa grande vie…Et grand chien aussi.

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