Moustique

C’est l’histoire d’un moustique qui vient chaque jour se poser sur un mur blanc.
Jusqu’au jour ou moustique tombe amoureux de ce mur qui le soutient, qui l’apaise.
Mur, étant un mur, ne sent rien. C’est plutôt son apparence qui change, il devient : mur blanc avec un point noir.
Mur étant seul, Moustique ne le dérange pas, au contraire, le changement d’allure amuse le mur !
Moustique est amoureux, et ses ailes deviennent toutes rouges. Mais mur ne voit rien, ne sent rien…Mais bonsand'bonsoir c’est un mur !
Or moustique est trop petit, et croit toujours que chaque chose a un cœur, que chaque objet ressent des chatouillements chimico-electriques, et surtout crois que mur est aussi amoureux de lui !
Malheureux moustique, tu n’as rien compris ! mur ne t’aime pas, mur ne te voit pas, mur ne te sent même pas !

Montages

architect: Marwan Maalouf
propriétaire: Johny Zakka
montage: shrrr
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shrrr ©

Une nuit Anonyme...

Pas d’heures, ni de jours, ni de dates, ni de vrais personnages… Un rêve, un simple rêve, même pas un cauchemar.

Des bruits bizarres, des sentiments de peur, de haines, de lassitude, puis d’indifférences… Il ne sent plus, cette répétition le drogue, on dirait qu’il prie, on dirait qu’il est obligé de prier, obligé de répéter…Il frustre, il a des larmes aux yeux, beaucoup de personnes lui manques, beaucoup d’objets lui manque…

Puis revient l’indifférence, puisqu’il s’aperçoit qu’il est dans un rêve, donc plus de soucis. Il se laisse emporter, insensible, froid, il sourit, il sait que rien n’est vrai, c’est la ou il s’amuse le plus, puisqu’il le sait, et il en est sur au moins !
Il se contente d’observer passivement les actions autour de lui, les bruits, les bruits forts, le silence impur, puis le bruit, un peu de cris…

Mais Silence ! observez ! arrêtez de crier ! c’est beau, des oiseaux libres avec leurs grandes ailes distribuant des feux d’artifices au-dessus de sa tête, de son esprit…
Ayez la politesse de le laisser rêver en PAIX !

Dès qu’il rentra chez lui, il vit une lueur, une lueur qui se dégradait, petit a petit, et se fondit dans un noir clôturant sa demeure, sa demeure éternelle. Puisqu’il est condamné a y vivre a jamais…
Ses paupières se ferment, pour laisser glisser des larmes, des larmes vides, des larmes dont lui-même ne sait pas pourquoi elle sont là…
Le silence s’alourdit, il n’est plus là, lui, son âme délaisse son corps mortel, pour rejoindre les murs, pour glisser sur les murs, pour caresser les murs…
Son corps mou, seul, seul, seul, tremble, puis s’effondre… Sur un sol, sur le sol qui le fait rebondir, tout doucement, puis rencogne…
Il a mal, il pleure, il est seul. Son âme joue, s’amuse. Son âme le trompe, son âme s’en fout. Son corps ne tremble plus, son corps s’est trop battu, son corps est léger, son corps est triste, délaissé…

ben laden Au Liban

shrrr ©

Ramadan kteer

j'adore la question: -" sayem tante?" - " eh lhamdellah"
guys please wake up, si vous voulez jeuner, pour conduire comme des vaches, parler comme des cons, faire tout à l'envers, en ayant comme argument que vous etes au jeune!!!! allez vous faire foutre ailleurs, allez vous cacher pour 1 mois entier dans une caverne, là ou dieu lui meme viendra vous donner à boire et à manger...
non mais vous etes serieux? pensez vous qu'en jeunant, vous serez entrain de penser aux gens pauvres? quelle hypocrisie de merde! sans boire l'alcool, et vous passez 11 mois de l'année au Cassino à vous peter des bouteilles les uns sur les autres, au Crystal, pour voir qui acheterai la bouteille la plus chere pour avoir son nom écrit sur un bout de papier à l'entrée du club!!!
non mais vous vous foutez de la gueule de qui? en plus, vous puez de la gueule, parceque vous ne brossez pas vos dents au ramadent...
j'adore aussi ceux qui ne mettent pas de parfum durant ce mois prceque haram...ou ceux qui decident de ne plus mentir, o la c'est le comble des combles...c'est là ou ceux-là ne parlent plus avec personne, puisquils ont pris la decision de ne plus mentir, aaahhh hahahha c'est trooooop...
moi je pense ke vous devriez travailler sur vous meme, a vous concentrer sur vous meme, a prendre un peu de distance et penser avec un minimum de logique. et vous verrez que ce que vous faite est de l'absurdité meme pas interessante!!!
d'ailleurs, si paradis il y a, et dieu vous l'a promis, je suis heureuse que je ne me trouverai pas avec vous...
yen3ad 3laykon...

"La petite 2" LE RETOUR

( http://www.blogger.com/comment.g?blogID=31969101&postID=115711239857699509
débilo-texto-phobe 1
La petite 1
Il était une fois, une petite fille nommée “petite fille” parce que ses parents la trouvait petite.Elle avait un grand chien nommé « grand chien », qui la suivait partout.Un jour, petite fille décida de quitter sa maison, à la recherche de sa petite culotte qui s’est envolée lors d’une grande tempête…Grand chien suiva petite fille jusqu'à ce qu’elle arrive a un petit village construit par de grandes culottes. Petite fille s’arrête et s’écrit : « petite culotte…Où est-tu ? »Aucune culotte ne répond à petite fille !Le grand malheur de petite fille la suivra toute sa grande vie…Et grand chien aussi.)

La petite 2

Mais durant sa longue vie, petite fille fit une petite sieste, et c'est là ou elle vit un grand reve!
Elle appercoit petite culotte lui parlant en ouvrant et refermant ses deux petits trous :" petite fille! ou est tu? tu m'a laissée toute seuwwwlwwwllwwlwlw ".
Petite fille se reveil effrayée :" ma petite culotte j'irai te chercher là ou tu sois, et cette fois je ne te laisserai pas tomber!"
Petite fille porta sa jupe (sans culotte), mit son pulle à l'envers (toute facon elle n'a pas de nichons), enfila ses chaussures ( abou esba3 plastic) et quitta à la recherche de petite culotte.
Elle traversa tous les grands bois, toutes les prairies, et c'est en passant à coté d'un supermarché dans un petit village, qu'elle appercoit petite culotte collée sur les deux grandes fesses d'une vieille femme se courbant pour choisir ses concombres.
" petite culotte" s'écria-t-elle, " lek ya petite culotte je suis là"!
reconnaissant la voix de petite fille, petite culotte essaie de se tourner pour voir, mais les fesses de la vieille femme bloquaient les joues de petites culotte!
Petite fille, étant petite, donc possedant une petite cervelle, cru qu'elle avait tors puisque petite culotte ne repondit pas !
Pettite fille rentra chez elle desespérée cette fois, pour enfin se laisser devenir grande fille sans culotte!!!

C’était un beau soir d’avril; tout était calme à part le sud. Les chiens n’aboyaient plus, les magasins avaient fermé et mes yeux ouverts cherchaient une petite lueur dans le noir de ma chambre. Je pensais, surement, mais je ne sais à quoi!
J’étais seule, si je ne voulais compter ma peine. Le silence règnait au point d’entendre les battements mélancoliques de mon cœur!
Ce n’était point par paresse que je me trouvais sur mon lit, mais c’est l’unique lieu ou je pouvais réfléchir calmement. Mon style lyrique ne m’ennuyait point!
J’avais un peu mal à la tete, ca ne fait rien, tout passe…
Je cherchais peut-etre à comprendre ma douleur qui m’effrayait. Je bougeais sans cesse, il fallait me calmer et essayer d’accepter le réel incompressible pour continuer à exister.

Voilà, tout est détruit.
Tu marches dans la rue, ne vois aucun amour, mais des tetes remplies videment d’ignorance, la froideur est là, méfies-toi du danger!
Ou est parti l’Amour, le vrai, non pas celui des sous, mais des coeurs, qui étaient autrefois battants pour la vie et non pour s’arreter?
Viens, viens avec moi, cache-toi en mon corps, en sécurité. N’est peur de rien, soit fort et attends toi à tout.
Puisque l’amour s’est caché et a disparu, qu’as-tu peur de plus? de perdre? quoi dont? ton corps? mais il est devenu vide!
Les paroles rudes ne s’aiment plus, les baisers ont bouilli de chaleur infernale…
Les pensées naives ont dévasté l’ame de la vie…
Prends-toi en main, fonce et oubli, oubli, dépasse ces sentiments, renonce à cette vie et choisi la tienne!